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Bienvenue l’artiste ! Voici l’atelier de coloriage. Tu as carte blanche pour réaliser ta propre œuvre à partir de celle de l’exposition et de la palette de Paul Gauguin.

 

 À TOI DE CRÉER : Sélectionne l’œuvre que tu souhaites colorier. Les outils te permettent de choisir l’épaisseur de ton trait et la couleur que tu appliqueras. Tu peux accéder au modèle pour te donner de l’inspiration. Tu as ensuite la possibilité d’enregistrer ton coloriage sur ton ordinateur. 

Crédits


 

 

 

 

 

 

 

 

Paul Gauguin (1848-1903), Femmes de Tahiti  ou Sur la plage, Novembre-décembre 1891. Huile sur toile; H. 69; L. 91.5 cm © Musée d’Orsay, dist. Rmn-Grand Palais / Patrice Schmidt

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Paul Gauguin (1848-1903), Arearea (Joyeusetés I), 1892 décembre. Huile sur toile ; H. 74.5; L. 93.5 cm. Musée d’Orsay, Paris (France). Photo © Rmn-Grand Palais (musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Paul Gauguin (1848-1903). Le Cheval blanc, 1898. Huile sur toile; H. 140; L. 91.5 cm. Musée d’Orsay, Paris, France. Rmn-Grand Palais (musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski

 

Colorie avec Paul Gauguin

Colorie avec
Paul Gauguin

Choisis l’œuvre à colorier

Gauguin peint Femmes de Tahiti lors de son premier séjour à Tahiti (de juin 1891 à  juillet1893). Il représente deux femmes tahitiennes, l’une est représentée de profil et l’autre de face. L’une porte un vêtement traditionnel tahitien, un paréo, l’autre une robe rose couvrante qui rappelle la longue présence des missionnaires protestants.

 

La peinture de Paul Gauguin que tu vois ici  montre une image idéale d’un monde d’avant l’arrivée des européens où les hommes vivaient en toute quiétude, au jour le jour, et sous la protection de leurs dieux. Sous l’arbre bleu une femme joue du vivo (flûte) alors que l’autre médite et nous questionne du regard. Au loin, à l’arrière plan, une cérémonie se déroule ; trois femmes pratiquent un rituel. Elles adorent la seule déesse du temple Mahori, la déesse de la Lune Hina, dont Gauguin a imaginé la représentation.  

Ce tableau te plonge dans la forêt polynésienne ! A l’écart des villages, Gauguin aime s’y aventurer et se perdre dans une flore luxuriante peuplée d’animaux sauvages. le cheval s’abreuve. Sa robe blanche se teinte du vert de la végétation environnante. Le commanditaire de la toile la refusa car il trouvait que le cheval était trop vert.